24 juin 2006

La France en huitième de finale

Ca y est, la France a gagnée un match en Coupe du Monde. 8 ans et un célèbre 12 juillet 1998 qu'on attendait ça. Et on peut remonté plus long, ça fait 20 ans (le mondial 86 au Mexique) pour voir une victoire de la France en Coupe du Monde à l'étranger (c'était aussi contre le Brésil, mais en quart de finale).

Donc Hier soir encore pas mal d'émotion pour mon petit caméscope. Nous n'étions pas les seuls à regarder le match, puisqu'il y avait plus de 18 millions de téléspectateurs, avec un pic d'audience à 22h49, à 21,52 millions !! Il s'agit, souligne TF1 « de la meilleure audience depuis le début de l'année 2006, tous programmes confondus et toutes chaînes confondues » et de la « cinquième meilleure audience depuis la création du médiamat en 1989.

Mon montage va pouvoir donc continuer, en espérant encore beaucoup d'instant émotion kodak.


Maintenant les choses sérieuses commence, avec un 8ème de finale "caliente" contre l'Espagne. Rendez vous Mardi...

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Chau-qué!

Il suffit, ce blog est une honte et en tant que président de l'Association Française des Universitaires Contre les Koala (A-FUCK), je m'indigne en haut lieu pour bannir ce site, rempli de fautes d'orthographes!

Cher(s) lecteur(s), révoltez-vous contre ce pamphlet d'erreurs, qui prône la consommation d'alcool en provenance de pays d'ex-union soviétique, sans prendre le soin de préciser que l'alcool nuit gravement à la santé.
Ecoutez-moi les jeunes, l'alcool ce n’est pas bien et puis l'abus de vin rouge fait vomir, sachez-le! La preuve en est ce "quelques appriorie" ou encore ce "Donc faisez gaffe les fans du foot", qui sont des preuves que l'alcool fait perdre la raison et rend impuissant.

Luttons!

Anonyme a dit…

En ce mercredi 28 juin 2006, la France du foot se réveille en chantant, tout au moins pour ceux qui n'étaient pas présent à Cologne et qui y ont laissé leurs cordes vocales. Ou alors pour ceux qui comme moi se fichent de la distance et se disent qu'en chantant (que dis-je, en gueulant!) "Allez les bleus" ou encore "Qui ne saute pas..." pendant 90 minutes, nos joueurs nous entendront forcément.
Mais est-ce seulement la France du foot? Permettez-moi d'en douter. En effet, si le foot reste un sport, quel lien de socialisation! Par quel autre moyen imaginez-vous vous retrouver sous un drapeau tricolore dans les rues, chantant bras-dessus dessous avec un bauf au bide bedonnant, un supporter acharné aux peintures de guerre maculés, une ravissante demoiselles portant merveilleusement la tunique de notre équipe, ou un costard-cravate bourré au pastaga...? Et souvenez-vous des promesses de la génération Black Blanc Beurre de 98 qui laissait croire en une unité retrouvée, et qui s'est cassé les dents un jour d'avril 2002...
De la même manière, le peuple Allemand exibe à nouveau son drapeau avec fierté (malgré une retenue relative) alors que celui-ci était encore il y a quelque semaines un triste témoin d'un passé peu glorifiant.
Et que dire de ces peuples Sud-Américains qui voient en leurs 23 représentants des semi-dieux, même pas semi dans le cas d'un Ronaldinho par exemple.
Qu'importe, au-delà de ces facteurs de rassemblement, c'est aussi un plaisir égoiste et une rivalité parfois bien marquée. La Marseillaise sifflée par le peuple espagnol, c'est l'esprit de compétition qui revient au galop. Et de l'esprit de motivation, il en faudra samedi pour vaincre la marée jaune sambazienne, qui n'a plus perdu un match en coupe du monde depuis 11 matchs. Tiens... C'était un 12 juillet 1998...